MIDI LIBRE publiait le 16 janvier dernier un article sur le rapport critique de la gestion municipale de Nîmes. Nous en retranscrivons ici un extrait, qui concerne la torture auromachique.

Gestion des spectacles tauromachiques

« La mauvaise qualité de l’article 28 de la convention laisse subsister un doute sur le point de savoir si le versement de la redevance est TTC (toutes taxes comprises) ou HT (hors taxes) ; d’autre part, la commune a conservé à sa charge certaines dépenses, telles que les salaires et charges sociales du personnel de la billetterie, les frais d’entretien de la piste et de la carrière évalués à 102 000 €. » Pique supplémentaire : Simon Casas, le délégataire, « cumule les fonctions de délégataire et d’agent de torero, ce qui n’est pas compatible avec une gestion transparente des arènes ».

Ce n’est pas nous qui le disons !

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