Interviewé lors d’un reportage sur France 3 Languedoc-Rousillon, le Colonel POTY, chef de la Gendarmerie de Nîmes, reconnait qu’il ne rencontre pas de problèmes particuliers avec les mouvements anti-corrida.

Si les messages délivrés sont qualifiés de violents – et ils le sont – il ne font toutefois que décrire la réalité de la brutalité de la tauromachie. C’est donc bien la violence de la corrida qui est en question et non celle des militants.

L’amalgame savamment entretenu entre le message délivré et le militant lui-même n’est qu’un leurre destiné à rendre respectable une pratique des plus cruelle et sanglante.

https://www.youtube.com/watch?v=DIUn35AbZ9o&feature=youtu.be

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