Les TORÉROS sont des DÉLINQUANTS, les spectateurs des complices de cruauté sur animaux.

Selon l’article 521-1 du Code pénal, infliger volontairement des sévices graves, torturer et tuer un animal est passible de 5 ans de prison et 75 000 € d’amende… partout en France.

Partout ? Pas tout à fait. Une exception scandaleuse subsiste : dans une cinquantaine de villes seulement — soit moins de 0,2 % du territoire métropolitain — la barbarie de la corrida est encore tolérée au nom d’une “tradition”. Ici, la loi ferme les yeux, et les actes de cruauté sont dispensés par dérogation (un alinéa) de toute sanction pénale.

La loi doit être la même pour tous et partout.
En droit, on appelle cela l’isonomie : le principe d’égalité de tous devant la loi, sans privilège ni discrimination, quelles que soient les personnes ou les situations.

Accepter que cette égalité soit bafouée, c’est contraindre notre système juridique à tolérer l’intolérable : des entorses graves à la protection des animaux, pour satisfaire une pratique d’un autre âge.

Mettons fin à cette aberration éthique. Mettons fin à la cruauté.
Abolissons les corridas, partout.

#StopCorrida #StopCruauté

Note: il y a 34 900 communes en France métropolitaine, soit 0.14 % (+/-55) qui organisent encore ces sacrifices d’animaux…  

CV

 

 

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