Ce jour-là cinq taureaux ont été tués dont un par une jeune fille.

Comment faire croire qu’on est courageux ?
En se recouvrant du sang d’un taureau torturé !

Ridicule…

Le monde de la bouvine (les courses camarguaises) répète qu’il ne faut pas faire d’amalgame avec la corrida.

Ah bon ? Ce même jour, un raseteur comme toujours habillé de blanc, est venu faire quelques passes !

Alors le « toro bravo » de la corrida espagnole ou « toro vivo » de la course camarguaise ? Apparemment tous n’ont pas la même vision du taureau et certains l’apprécient mort dans une arène. Joachim Cadenas est coutumier de ce genre de choses il a déjà toréer à Fourques ! Honte à lui !

Et pour finir la notion de respect vue du côté des aficionados !

« Il a le droit de filmer ! Donc vous assumez, c’est tout ! »

C’est en ces termes que des gendarmes ont laissé les enquêteurs du CRAC Europe et d’Alliance Ethique filmer la façon dont sont traitées les dépouilles des taureaux sitôt sorties de l’arène.

Elle est belle la dimension quasi mystique de cet « art » que les aficionados vendent à longueur de temps !

Merci à One Voice pour le montage et le partage

La corrida, une histoire de tripes et de boyaux – One Voice (one-voice.fr)

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